À suivre...

En l'occurrence, le point de départ de cette pièce est l'envie de jouer avec tite chérie dans une pièce que j'aurai écrite. J'ai déjà écrit pour elle, dans le cadre des sketches du FIEALD (voir la section vidéo pour quelques exemples) mais je ne lui ai jamais écrit de vrai rôle, dans le contexte d'une pièce. Et la période actuelle est assez frustrante, puisque tite chérie joue dans Harem Underground du dimanche au mardi, et moi dans Cendrillon et le Chien du mercredi au dimanche. On ne se voit pas aussi souvent qu'on aimerait et si je dois rejouer dans une de mes pièces, j'ai envie que ce soit avec elle. Alors, ça peut paraître un peu léger comme prétexte pour écrire une pièce, mais à vrai dire c'est plus enthousiasmant comme moteur que d'écrire simplement pour écrire. À l'époque, j'ai écrit Harem Underground (2001) pour mon frère qui voulait monter une pièce avec des camarades : c'est ensuite seulement que j'ai cherché le sujet qui pourrait faire intervenir ces comédiens dans des rôles qui leur conviendraient. La Partenaire de l'Inspecteur Murdock (2003) est née de l'envie de faire un polar au théâtre, d'importer des genres d'habitude réservés au cinéma. Et Une Comédie Légère (2005) est ma première pièce militante et ma première oeuvre de métafiction, principalement destinée à engueuler le public. Les spectateurs traumatisés par l'expérience seront donc sans doute heureux de me voir revenir à des motivations moins... agressives, dirons-nous.
Un petit bémol à la vitesse à laquelle je pourrais écrire cette pièce : c'est la première fois que j'écris une pièce tout en ayant mes traductions à rendre à Panini (j'ai fini d'écrire Une Comédie Légère en juillet 2004... oui, j'ai mis plus d'un an à la monter... comme quoi, même quand on a une salle, c'est pas toujours simple). Il va donc falloir là encore que je m'impose un planning assez strict pour jongler avec tout ça. Mais étant donné que je vise un démarrage aux alentours de septembre-octobre 2008, j'ai encore un peu de marge... Vous en saurez en tout cas plus d'ici là, puisque j'ai bien l'intention de préparer à fond le lancement de la pièce via ma main-mise (hum) sur Internet.
Ce que je peux vous dire pour l'instant ? Presque rien, non mais, je connais l'art du teaser. Je peux simplement vous dire le titre : À suivre...!
(Image Copyright, euh, Google ?)